Le Maroc, ce pays qui s’enorgueillissait autrefois et faussement d’être un phare de la résistance face à l’oppression, s’est tristement découvert son camp. Sa monarchie, en quête de soutien extérieur, a pris une tournure abjecte en sacrifiant ses principes fondateurs pour servir les intérêts d’un sionisme arrogant et expansionniste.
Ce revirement constitue un affront non seulement à la dignité marocaine, mais aussi à l’ensemble du monde arabe qui observe avec indignation cette soumission honteuse. Le dernier coup de poignard dans le cœur de la souveraineté marocaine est venu sous la forme d’une réforme constitutionnelle déguisée en modernisation. La réalité, toutefois, est bien plus sombre. Derrière les promesses d’une plus grande stabilité, de démocratie et de prospérité, se cache une dictée imposée par ceux qui ont pris en otage les intérêts marocains pour les livrer sur un plateau d’or à l’État sioniste. En réalité, c’est une atteinte grave à l’intégrité constitutionnelle du Maroc, orchestrée avec la bénédiction de la monarchie, dont la collusion avec Israël ne fait plus aucun doute.
Une loi liberticide : étouffer l’opposition pour plaire à Tel-Aviv
Le nouveau projet de loi sur les grèves, mentionné dans le document qui fait le tour des médias marocains, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres tentatives désespérées du régime pour faire taire toute opposition. Sous couvert de maintenir l’ordre et de protéger l’économie, ce texte est un outil de répression politique visant à démanteler toute résistance sociale contre les dérives autoritaires de la monarchie. Les syndicats, pourtant piliers de la défense des droits des travailleurs, sont étouffés, leurs demandes légitimes balayées d’un revers de main, le tout pour maintenir l’apparence d’une stabilité factice sous les projecteurs internationaux. En réalité, cette loi n’est rien de moins qu’une prolongation du bras répressif de l’État marocain. Un État qui, dans son empressement à devenir le meilleur allié arabe d’Israël, a perdu toute boussole morale. Comment interpréter autrement ces atteintes répétées aux libertés fondamentales, ces arrestations arbitraires et cette criminalisation croissante des voix dissidentes? Le peuple marocain, quant à lui, se retrouve pris au piège d’un régime qui ne sert plus que ses propres intérêts et ceux de ses alliés étrangers, notamment Tel-Aviv et ses acolytes.
Une politique étrangère à genoux devant Israël
Le monde arabe assiste, consterné, à la soumission du Maroc à la volonté israélienne. Les accords dits de « normalisation » ne sont qu’une farce orchestrée par les grandes puissances, où le Maroc joue le rôle du vassal obéissant. La monarchie marocaine, aveuglée par la promesse d’une reconnaissance internationale et d’avantages économiques douteux, a abandonné la cause palestinienne, trahissant ainsi son propre peuple et les valeurs que ce pays prétendait défendre. Cette politique de soumission délibérée est un acte de trahison national. Comment un pays peut-il prétendre défendre les droits de l’homme et les aspirations de ses citoyens tout en pactisant avec un régime qui opprime des millions de Palestiniens? La monarchie marocaine, en vendant son âme au sionisme, a perdu non seulement sa légitimité morale, mais également le respect de ses voisins arabes et africains, qui voient dans cette normalisation une compromission impardonnable.
Une monarchie aux abois, le peuple en résistance
Mais que la monarchie marocaine ne se méprenne pas : cette soumission ne se fera pas sans résistance. Le peuple marocain, fier de son histoire et de ses valeurs, ne se laissera pas réduire au silence. Déjà, des voix s’élèvent pour dénoncer cette trahison nationale, pour rappeler à la monarchie que le Maroc appartient d’abord à son peuple et non à des intérêts étrangers. Le temps viendra où cette monarchie, engluée dans ses compromissions, devra répondre de ses actes. Et ce jour-là, le peuple marocain, qui n’a jamais cessé de défendre la justice et la dignité, tiendra tête à ceux qui ont vendu son pays pour quelques promesses creuses venues de l’étranger. En fin de compte, cette alliance sordide entre la monarchie marocaine et le sionisme ne fait qu’accélérer la chute inévitable d’un régime qui a perdu le contact avec son peuple. Le Maroc, terre de résistance, renaîtra de ses cendres, et le sionisme, aussi puissant soit-il, ne pourra jamais acheter l’âme d’une nation aussi fière. La monarchie, en s’alignant sur Israël, a signé son propre arrêt de mort. Ce n’est plus qu’une question de temps avant que les vérités éclatent et que le peuple marocain exige des comptes pour ces années de tromperie et de soumission honteuse. Le trône de Rabat vacille déjà, et sous la pression populaire, il finira par s’effondrer, emportant avec lui tous ceux qui ont pactisé avec l’ennemi.